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  • Démocratie en désordres

    Ce matin je reviens...

    Après deux jours d'absence sur cette page de liberté.

    Déchaînée par tant de conneries

    Les vois-tu ?

    Les entends-tu ?

    Que dire de l'espace ?

    Il s'est réduit

    À mesure que la connerie a grandi

    L'espace s'est confiné

    Demain tous astronautes urbains

    Demain semble ailleurs

    Nous survolons les temps

    Nous attendons l'ordre du conflit

    Désordres - lire "des ordres"

    Venus de nulle part

    Décision inqualifiable

    Sacrifions l'espace

    Le temps n'est plus

    Des ordres

    Une humanité en bataille

    Désordres

    Fin de démocratie

    ....

    A quand la nouvelle faim de démocratie ?

  • Du China bashing médiatique à la guerre qui s'annonce

    Dans le contexte où nous nous trouvons, il est urgent de démêler les discours, de ne pas croire tout ce que nous entendons. J'ai donc passé ma première semaine à lire la presse, à "écouter" le récit médiatique français. Il est urgent de penser à la collaboration et non au bashing.... Donc je vous invite à découvrir l'intégralité de cette analyse en cliquant ici !

     

    Voici l'introduction....

    "Nous sommes le 18 mars 2020. Nous sommes à Paris. C’est officiellement le deuxième jour de confinement. Peu de promeneurs dans les rues, des magasins dévalisés, des files d’attente organisées avec des espaces d’un mètre entre les personnes. Des visages masqués. Des corps un peu perdus. Des lieux de vie fermés. Adieu les terrasses parisiennes, les parcs et jardins. Paris laisse place aux doux chants des oiseaux. Il y a comme un air de printemps. Un printemps qui semble si lointain. Un printemps qui n’aura pas lieu à Paris. Un printemps saccagé. Depuis la Chine, les messages d’amitié et de conseils affluent. La Chine qui sort progressivement de son confinement, en confiance. Quel magnifique mouvement de balancier. La Chine montrée du doigt dans les médias français en janvier dernier, devient le premier pays à se sortir d’une situation extrêmement complexe.
    Par la fenêtre de mon bureau, un étrange silence peu habituel s’empare de la capitale française. C’est le moment idéal pour interroger, questionner les semaines passées et débuter un travail de résilience par l’écriture. Il m’aura fallu du temps pour intervenir sur ce sujet de préoccupation majeure. Mais ce temps était nécessaire à la mise au point, à la prise de recul, à la mise à distance des messages informationnels contradictoires. Nous vivons une époque de sur-informations qui coïncident également avec une sous-information. D’un côté nous recevons trop d’informations (éparpillant notre attention) et de l’autre nous sommes sous-informés car noyer par l’infoébéisté. Nous avons tous, du mal à chercher les sources d’informations correctes.
    Dans ce contexte, j’ai décidé de remonter le temps et de partir de la deuxième allocution présidentielle de Emmanuel Macron (du lundi 16 mars 2020). Dans son discours, il emploie six fois l’expression « nous sommes en guerre »"

     

    Du China bashing médiatique à la guerre qui s'annonce

  • Un jour, une lumière ?

    Faudrait-il une lumière ?

    Encore une lumière ?

    Toujours une lumière...

    Déjà

    Et puis, un jour...

    Sans lumière...

    Peut-être, sommes-nous sans lumière...

    Déjà

    Et puis, un jour...

    Une lumière reviendra

    Et avec elle, d'autres lumières

    Et enfin renaîtrons les lumières

  • Un jour un texte...

    Il fallait un espace déconfiné
    Pour dire
    Dans la poésie du temps
    Les maux
    Et jouer
    Des manques
    Lire, écrire
    comme si l’espace devait nous manquer

     

     

    contexte : Aujourd'hui Cécile Helleu lance sur Facebook une page/un groupe
    "un jour un texte"