Nous étions en plein Bouclage (William Lochner), quand soudain, une enquête sur le Crypto-Yuan (Pascal Ordonneau) est tombée. En urgence, nous avons avons dû suivre l’Homme aux yeux de poisson mort (Ophélie Grevet), jusque dans les Jardins (Francis Denis). Ayant été repérés par quelques Pionnières (Diplômées), nous avons négocié un Pacte des Signes (Michel Piriou). Après un sérieux Mapping (Julien Friedler), nous sommes restés InterloQuais (Patrick Bonjour), heureusement il nous restait quelques Poèmes à chanter (Roland Giraud).
En cheminant le long de Chronon (Pierre Michel Klein et Stéphane Dugowson), nous nous sommes rendus jusqu’au Pré aux lucioles (Ophélie Grevet). Là nous avons rencontré, assise sur un banc, Anna Djorkaeff (Michel Piriou), elle avait encore sur elle ce fameux Parfum d’Or rouge (Michel Piriou). Elle semblait soulagée que nous ayons pris Quelques secondes de conscience (Pierre Michel Klein) avant de nous lancer sur la piste des Poèmes à déchirer (Roland Giraud).
Au croisement de la Parole des Anges (Julien Friedler) et du Banquet sans Platon (Roland Giraud), nous faisions face aux Villes et Natures suspendues (Véronique Terrassier).
Perdue dans ses Pensées (Pascal Ordonneau), une Chinoise à Paris (Fan Zhang) regardait en toute Innocence (Barthélémy Courmont), un journal de guerre (Andrée Coconnier).
Elle semblait vouloir nous dire “mon nom signifie secret” (Francine Rosenbaum). Serions-nous tous et toutes des artistes empêché.e.s ? (Diplômées), quelques migrations au féminin (Diplômées) plus loin, nous avons compris l’importance des luttes des femmes (Marie-José Grandjacques). Il fallait nous rendre à l’évidence les Cultures Numériques (Diplômées) peuvent-elles encore nous donner le Goût de naître (Claude Mesmin) ?
Et si finalement, notre enquête nous ramenait à l’Âge de piastre (Michel Piriou) où tous les lecteurs ont Le sang qui tape (Roland Giraud).