Rebelle - Page 16
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Un jour, demain
Un jour, un texteUn jour, un motUn jour, une couleurUn jour, une odeurEnfin si tout va bienUn jour, un fluxUn jour, un refluxUn jour, une écumeEnfin si tout va bienCrois-tu ?Penses-tu ?Songes-tu ?Crées-tu ?Sais-tu ? Un jour, demain, tout reviendraUn jour, demain, un motUn jour, demain, une couleurUn jour, demain une odeurUn jour, demain tout ira bienUn jour, demain le flux sera revenu...Un jour, demain l'écume me caressera la joueUn jour, demain, demain, demain, demain, demain -
Démocratie en désordres
Ce matin je reviens...
Après deux jours d'absence sur cette page de liberté.
Déchaînée par tant de conneries
Les vois-tu ?
Les entends-tu ?
Que dire de l'espace ?
Il s'est réduit
À mesure que la connerie a grandi
L'espace s'est confiné
Demain tous astronautes urbains
Demain semble ailleurs
Nous survolons les temps
Nous attendons l'ordre du conflit
Désordres - lire "des ordres"
Venus de nulle part
Décision inqualifiable
Sacrifions l'espace
Le temps n'est plus
Des ordres
Une humanité en bataille
Désordres
Fin de démocratie
....
A quand la nouvelle faim de démocratie ?
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Du China bashing médiatique à la guerre qui s'annonce
Dans le contexte où nous nous trouvons, il est urgent de démêler les discours, de ne pas croire tout ce que nous entendons. J'ai donc passé ma première semaine à lire la presse, à "écouter" le récit médiatique français. Il est urgent de penser à la collaboration et non au bashing.... Donc je vous invite à découvrir l'intégralité de cette analyse en cliquant ici !
Voici l'introduction....
"Nous sommes le 18 mars 2020. Nous sommes à Paris. C’est officiellement le deuxième jour de confinement. Peu de promeneurs dans les rues, des magasins dévalisés, des files d’attente organisées avec des espaces d’un mètre entre les personnes. Des visages masqués. Des corps un peu perdus. Des lieux de vie fermés. Adieu les terrasses parisiennes, les parcs et jardins. Paris laisse place aux doux chants des oiseaux. Il y a comme un air de printemps. Un printemps qui semble si lointain. Un printemps qui n’aura pas lieu à Paris. Un printemps saccagé. Depuis la Chine, les messages d’amitié et de conseils affluent. La Chine qui sort progressivement de son confinement, en confiance. Quel magnifique mouvement de balancier. La Chine montrée du doigt dans les médias français en janvier dernier, devient le premier pays à se sortir d’une situation extrêmement complexe.
Par la fenêtre de mon bureau, un étrange silence peu habituel s’empare de la capitale française. C’est le moment idéal pour interroger, questionner les semaines passées et débuter un travail de résilience par l’écriture. Il m’aura fallu du temps pour intervenir sur ce sujet de préoccupation majeure. Mais ce temps était nécessaire à la mise au point, à la prise de recul, à la mise à distance des messages informationnels contradictoires. Nous vivons une époque de sur-informations qui coïncident également avec une sous-information. D’un côté nous recevons trop d’informations (éparpillant notre attention) et de l’autre nous sommes sous-informés car noyer par l’infoébéisté. Nous avons tous, du mal à chercher les sources d’informations correctes.
Dans ce contexte, j’ai décidé de remonter le temps et de partir de la deuxième allocution présidentielle de Emmanuel Macron (du lundi 16 mars 2020). Dans son discours, il emploie six fois l’expression « nous sommes en guerre »" -
Un jour, une lumière ?
Faudrait-il une lumière ?
Encore une lumière ?
Toujours une lumière...
Déjà
Et puis, un jour...
Sans lumière...
Peut-être, sommes-nous sans lumière...
Déjà
Et puis, un jour...
Une lumière reviendra
Et avec elle, d'autres lumières
Et enfin renaîtrons les lumières