World has to Change dance choreography by Thomas Bimai
“Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.” Francis Blanche
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“Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.” Francis Blanche
Eva Bartlet, journaliste canadienne a récemment critiqué la couverture médiatique de la crise syrienne lors d'un sommet de l'ONU. Lors de cette conférence de presse organisée par la mission syrienne auprès de l'ONU, elle a qualifié d’«erronée» la couverture médiatique occidentale de la guerre en Syrie, affirmant que leurs sources de l'Occident n’étaient «pas crédibles» et même, dans le cas d'Alep, irréelles.
Vous pouvez regarder ci-après la vidéo.
Aujourd'hui elle dénonce les pressions qu'elle subit et les accusations qui lui sont adressées. Pour rappel, Eva Bartlett, est journaliste indépendante et militante des droits de l'homme. Elle tient un blog sur RT.com (attention ceci est la plateforme médiatique russe - seul média qui embauche un tas de journalistes indépendants).
Mon dîner avec André, un film de Louis Malle réalisé en 1981. Une anticipation réaliste de notre présent.
Dire que Samuel Beckett avait écrit le Dépeupleur... Où finalement celui qui s'extrait se retrouve à faire le choix de l'enfermement.
Théophile Gautier avait cette formule terrible autant que terrifiante : "la barbarie plutôt que l'ennui".
Et Georges Bernanos de poser que "le monde est dévoré par l'ennui".
Il est urgent de sortir de cette spirale de l'ennui...
J'aurais souhaité que personne ne like cette première photographie, prise au hasard des rues.
Allant comme un poisson faire mes longueurs. Mais à l'autre bout du processus de communication. Que peut le récepteur ?
Il like !
Il met des coeurs...
S'enthousiasme dans une communion (binaire, ordinaire).
Une danse faussée.
A cette seconde image, un tournant, des feux, des directions multiples.
Qu'est-ce qui peut être uni ?
Un hashtag, peut-il résumer nos vies ?
On écoute des cailloux dans les poches.
On demande le silence politique.
On pleure.
On devrait se rebeller.
On devrait poser les questions qui fâchent.
Celles qui font mal.
Celles qui crient de leur silence.
Celles qui heurtent. Frappent. Saignent. Coincent. Encerclent. Tenaillent.
Le corps.
Le corps meurtri.
Celles qui réveillent, éveillent.
Rendent le souffle au corps.
A ce corps que l'on veut oublier à tout prix.
Le corps individuel (re)devenu social.
Ce n'est pas Paris qui se souvient, ni Nice, ni Alep, ni Mossoul, ni Beyrouth, ni New-York, ni Bruxelles, ni Londres, ni Madrid...
Non, c'est vous, c'est moi...
C'est Cécile qui (se) révèle avec Luck.
Drôle de mot que celui de chance. Un mot qui apparaît au 12ème siècle. Cette chance rime avec cadence. Et dans le fond, ne serait-ce que cela ?
Un pas plus pressé. Une écoute plus attentive. Le bruit. L'instinct. Les dés qui tombent d'un côté ou de l'autre. Une danse. Une assiette brisée. Un verre renversé. Une toile qui se déchire. Une étoile est tombée. Le siècle la ramassera.
Une lueur repartira.
La cadence.
La scansion.
Non.
Nos vies ne sont pas des hashtags.
Nos vies ne sont pas des successions de mots d'ordre.
La vie est créative.
...Créer
Créer
Créer...
La création, seul acte de résistance.
L'ART n'est pas un hashtag...
...
ART
...